"Foreverland" de The Divine Comedy, un petit bijou d'orfèvrerie pop

Collectif à géométrie variable porté par le chanteur et compositeur nord-irlandais Neil Hannon, The Divine Comedy défend depuis ses débuts, en 1989, une pop indépendante très orchestrée, sous influence Sixties et d'une grandiloquence assumée. Ce onzième album ne déroge pas à une esthétique luxuriante, ne lésinant pas sur les cordes et les cuivres - Ah ! le clavecin et la trompette de "To the rescue" -  mais néanmoins raffinée et non dénuée d'humour (voir le clip de "How can you leave me on my own"). Délicieusement suranné !

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